Transcription Balado uOCourant

Saison 2, Épisode 4

Gwen Madiba :

Bienvenue à uOCourant, un balado audacieux mettant en vedette des experts, produit par l’Université d’Ottawa.

Bonjour, je suis Gwen Madiba, animatrice de l’émission et fière détentrice de deux diplômes de la Faculté des sciences sociales de l’Université d’Ottawa. Je suis aussi présidente de la fondation Equal Chance. 

Le but d’uOCourant est de vous faire connaître des chercheurs, chercheuses et diplômés à l’avant-garde de leur domaine et d’avoir avec eux des discussions stimulantes sur les sujets de l’heure.

Aujourd’hui, c’est le dernier épisode de la deuxième saison d’uOCourant. Cette deuxième saison, sous le thème de l’épanouissement et du bien-être, a donné lieu à d’inspirants échanges avec des membres de notre communauté diplômée. 

Et nous la terminons en beauté aujourd’hui avec Jeanette Jenkins, entraîneuse et conseillère de renommée mondiale dans le domaine de la santé. Vous verrez : son optimisme est contagieux et elle propose plein de conseils pratiques pour vous inciter à rêver grand et à adopter un mode de vie sain.

Alors, sans plus tarder, je vous présente notre invitée : Jeanette Jenkins, diplômée en sciences de l’activité physique de la Faculté des sciences de la santé de l’Université d’Ottawa. Pendant ses études, cette grande fan des Gee-Gees – elle assistait souvent à leurs parties – donnait des cours de conditionnement physique au gymnase du campus. Elle a aussi été entraîneuse-étudiante pour l’équipe de football masculin.

Une fois son diplôme en poche, elle a déménagé à Los Angeles, où elle a animé des séances de conditionnement physique qui ont attiré l’attention de personnes connues. Ces célébrités l’ont rapidement sollicitée pour des cours privés; c’est de là que vient son titre de « Hollywood Trainer ». Elle a entre autres travaillé avec P!nk, Alicia Keys, Jurnee Smollett, Shonda Rhimes, Mindy Kaling, les gymnastes médaillés d’or olympiques Shawn Johnson et Laurie Hernandez, et le joueur étoile de la NBA Chris Bosh. 

Elle a aussi produit une série de DVD de conditionnement physique qui, après avoir connu un grand succès, a été traduite en 12 langues et distribuée un peu partout dans le monde. Autrice du livre The Hollywood Trainer Weight Loss Plan paru chez Penguin, Jeanette est aujourd’hui suivie par des millions de personnes en ligne. Elle a notamment 1,5 million d’abonnés en tout sur Instagram et Facebook, et elle anime le Hollywood Trainer Club, un club virtuel qui réunit des membres du monde entier. 

Jeanette, merci de vous joindre à nous en direct de Los Angeles!

Jeanette Jenkins :

Ça me fait énormément plaisir de vous parler! L’Université d’Ottawa, c’est un peu mes racines.

Gwen Madiba :

Votre parcours est tout simplement exceptionnel. Je regardais une de vos séances d’entraînement sur votre chaîne YouTube PopSugar Fitness. Elle a été vue 23 millions de fois!

Jeanette Jenkins :

Oui, c’est incroyable! YouTube est un outil formidable qui me permet de rejoindre énormément de personnes aux quatre coins du globe, et j’en suis tellement reconnaissante.

Gwen Madiba :

Oui, vous faites maintenant partie de l’élite dans votre domaine. C’est très impressionnant! Dans une entrevue précédente, vous avez parlé de votre enfance dans un logement social à Oshawa, où votre mère vous a élevée seule. Ça me paraît bien loin de votre réalité d’aujourd’hui. Avez-vous toujours entretenu des rêves aussi grands? 

Jeanette Jenkins :

En fait, à l’époque, mon rêve ne me semblait pas nécessairement ambitieux; c’était tout simplement ce que je voulais faire. Aujourd’hui, je sais que tout part de l’estime de soi. Ma confiance, je l’ai acquise de deux façons. D’abord, grâce à ma mère, qui m’a toujours encouragée. D’ailleurs, avis à tous les parents qui nous écoutent, croyez en vos enfants, même en leurs idées les plus folles. Dites-leur que quand on veut, on peut! Personnellement, c’est ce qui m’a propulsée. Elle était toujours derrière moi, peu importe l’idée que je lui présentais, que ce soit un spectacle dans le garage ou tout autre projet qui traverse l’esprit d’une enfant… Ma mère était toujours persuadée que je pouvais réussir. Elle m’a transmis de la confiance comme ça. L’autre chose qui m’a beaucoup aidée, c’est le sport. Je pense que c’est essentiel d’inciter les filles à faire du sport. Ça peut nous apprendre beaucoup. Surtout à ne pas avoir peur des défis. Quand on pratique un sport et qu’on veut améliorer certaines habiletés, que ce soit son talent de marqueuse au soccer ou son coup de patin au hockey, on n’a qu’à mettre les bouchées doubles pour voir des résultats. L’école, c’est pareil. J’ai travaillé d’arrache-pied pendant mes études, et j’ai d’ailleurs reçu une bourse d’excellence pour aller à l’Université d’Ottawa. J’ai toujours cru qu’en me donnant les moyens de réussir, j’allais y arriver. Il faut comprendre qu’il y aura des moments difficiles, des échecs même. Parfois, on ne réussit pas la première fois, ni même la deuxième, la troisième ou la quatrième fois, mais ce n’est pas une raison d’abandonner. Si on continue de travailler, d’apprendre et de progresser, on finit par atteindre nos buts, même les plus ambitieux.

Gwen Madiba :

Wow! C’est un message vraiment inspirant pour les membres de notre communauté universitaire et pour toutes les autres personnes à l’écoute. Avant qu’on poursuive la conversation, j’aimerais donner à nos auditeurs et auditrices un aperçu de l’énergie et de la passion qui vous habitent lorsque vous donnez vos cours de conditionnement physique. On s’entend, on la sent déjà cette énergie, rien qu’à vous parler; mais écoutons un court extrait. 

Clip de Jeanette Jenkins :

On se donne à fond! On lève les genoux! 30 secondes! Les boxeurs font au moins 10 km de course juste pour s’entraîner, alors vous pouvez tenir 30 secondes. Bravo! Tapez dans la main d’un ami imaginaire! Bravo aux gens à la maison! Beau travail!

Gwen Madiba :

Vous avez beaucoup d’énergie! En avez-vous à donner? J’en prendrais bien un peu. Mais sérieusement, comment faites-vous pour vous mettre dans cet état d’esprit qui vous amène à vous donner à fond? 

Jeanette Jenkins :

Ah, quand on entre dans la zone! Eh bien, d’abord j’ai la foi. Je dirais que mon énergie première, je la puise en Dieu. Et j’en suis tellement reconnaissante. La gratitude et une attitude positive, c’est le secret pour avoir de l’énergie. 

J’encourage tout le monde à commencer la journée du bon pied : chaque matin, laissez la gratitude et l’optimisme vous envahir. En abordant nos buts et nos objectifs avec optimisme, on dégage de bonnes vibrations, on prépare notre réussite, en quelque sorte. Si, au contraire, vous êtes pessimiste et avez une attitude négative, si vous n’avez pas confiance en vous, si vous avez tendance à vous rabaisser ou si vous avez tendance à l’autodestruction, eh bien, vous n’avancerez pas. En général, avoir une attitude négative, c’est se mettre des bâtons dans les roues. Bref, la première chose à faire, c’est voir la vie du bon côté.

La zone, donc, c’est un état d’esprit où on se dit qu’il faut donner le meilleur de soi-même. Dans l’extrait que vous avez fait jouer, vous m’avez entendue puiser toute mon énergie dans cette zone pour donner tout ce que j’avais dans le ventre. Il ne faut pas trouver d’excuses ou se plaindre, peu importe ce qu’on fait, même quand on doit répéter encore et encore les rudiments de base. 

Peu importe qu’on s’initie au conditionnement physique ou qu’on réalise une tâche pour la première fois, il faut, pour entrer dans la zone, faire abstraction de son ego et se retrousser les manches pour arriver à maîtriser les bases. Et surtout, il ne faut pas avoir peur de commencer au bas de l’échelle. Beaucoup trop de gens ont peur du chemin à suivre. Il faut mettre son ego de côté et franchir les étapes une à une. Tous les grands athlètes de ce monde, les Kobe Bryant et les Michael Jordan, vous le diront. Pour réussir, il faut s’entraîner encore et encore, et encore et encore. Bref, pour atteindre l’excellence, il faut être prêt à investir le temps et l’énergie nécessaires. 

La zone peut aussi devenir, une fois qu’on se sent à l’aise, un moyen de se propulser encore plus loin. Je vais me donner corps et âme. Je vais courir encore plus vite. Je vais donner tout ce que j’ai. Bref, la zone a plusieurs niveaux, mais le plus important, c’est que dans cet état d’esprit, on se concentre sur une chose à la fois et on s’y investit totalement.

Gwen Madiba :

Voilà de bons conseils que je vais certainement suivre. Je regardais votre compte Instagram et ça m’a beaucoup touchée de voir que vous aviez présenté à l’émission Access Daily une routine d’entraînement avec votre sœur, Camille Jenkins, où vous faites chacune deux versions d’un même exercice, à des degrés d’intensité différents. Comment c’est de travailler ensemble, toutes les deux?

Jeanette Jenkins :

Eh bien, j’adore ça! Ma sœur a cinq ans de plus que moi, et c’est une femme brillante. C’est une pilote d’avion certifiée, en fait, et elle a déjà géré une école d’aviation. 
  C’est d’ailleurs une des rares femmes afro-américaines à pratiquer ce métier-là. Elle a travaillé pour un grand transporteur aérien. Bref, elle est vraiment intelligente. Je suis tellement chanceuse qu’elle ait accepté de gérer mon entreprise. 

Et donc on a pensé à faire une série d’entraînement intitulée The Sister Series. L’idée est venue de nos différences physiques. Physiquement, on n’a rien en commun. Génétiquement, je retiens plus de mon père et elle, de ma mère. Elle est extrêmement sensible, et moi, je suis super robuste. 

Quand je vous dis qu’elle est sensible, même le chou kale lui donne parfois des inflammations. En fait, c’est à cause de l’acide qu’il contient. Il faut dire que les légumes crucifères donnent du fil à retordre à bien des gens, et c’est son cas. En plus, elle a des troubles hormonaux, comme beaucoup de femmes. 

Au fil des ans, j’ai rencontré des femmes aux prises avec toutes sortes de problèmes – thyroïdite d’Hashimoto, douleurs chroniques ou articulaires – et à cause de ma sœur, je peux comprendre leur situation. Heureusement, tout le monde n’a pas ces gènes contre lesquels on ne peut rien faire et qui font souffrir beaucoup de gens.

 Le simple fait d’être en santé devrait suffire à nous remplir de gratitude. Le déséquilibre hormonal est un problème qui touche des millions de femmes. Et c’est pourquoi j’ai décidé de faire cette série entre sœurs et de montrer à mes fans sur les réseaux sociaux qu’on peut faire exactement le même entraînement. Je fais une version haute intensité à impact élevé, tandis que ma sœur fait elle aussi un entraînement à haute intensité, mais sa version plus douce, pour ménager ses articulations.

 Depuis qu’on a lancé notre série d’entraînement, des centaines de milliers de femmes nous ont dit l’avoir suivie et s’être jointes à notre club. Mon club, justement, c’est l’Hollywood Trainer Club. J’anime des camps de type militaire, et on a plus de 500 vidéos d’entraînement qui attirent des personnes d’un peu partout dans le monde. Des milliers de femmes ont commencé à nous suivre précisément depuis cette série entre sœurs parce qu’elles se sont senties accueillies. Dans le domaine du conditionnement physique, presque tous les corps présentés sont musclés, génétiquement avantagés et incroyablement athlétiques. Pourtant, c’est très peu représentatif du reste de la société. Vous savez, chez les femmes, la taille moyenne des vêtements, c’est 16.

Gwen Madiba :

C’est vraiment intéressant. Merci pour ce témoignage. 

Nous avons maintenant une question spéciale pour vous de la part de Trevor Monaghan, diplômé de l’Université, ancien membre de l’équipe de football des Gee-Gees et membre de la Nation crie de Chisasibi.

Trevor Monaghan :

Bonjour Jeanette, Je m’appelle Trevor Monaghan. Depuis 10 ans déjà, je dirige le centre de conditionnement physique de Chisasibi, sur la côte est de la baie James, dans le Nord-du-Québec. J’admire beaucoup votre confiance et l’utilisation que vous faites de votre notoriété, surtout en tant que femme de couleur, pour valoriser et motiver votre public. Je suis moi-même entraîneur personnel et je travaille auprès de femmes autochtones qui manquent souvent de confiance en elles, notamment en raison des pensionnats et des traumatismes intergénérationnels qu’ils ont causés. Quel conseil auriez-vous pour renforcer leur estime? Auriez-vous un message à transmettre à ces jeunes Autochtones? 

Jeanette Jenkins :

Oui, d’emblée, je leur dirais qu’elles sont la raison pour laquelle leurs ancêtres ont persévéré et qu’ils n’ont pas cédé. En ce sens, elles ont le devoir de se tenir debout. Elles le doivent à leurs ancêtres, pour tous les sacrifices qu’ils ont faits. Faites les meilleurs choix qui soient pour leur rendre honneur. Ne laissez pas la souffrance vous immobiliser. Continuez d’avancer. C’est normal d’éprouver du chagrin ou de la frustration à cause de ce qu’on a fait subir à votre peuple. Je suis moitié Afro-Américaine, descendante d’esclaves de la Caroline du Sud, alors je peux m’identifier à votre situation. Je comprends tellement, je garde même une plaque dans mon bureau. En fait, je n’appellerais pas ça une plaque, mais ça symbolise la vente d’esclaves. Sur celle que j’ai, on peut voir une inscription qui indique le prix d’une femme noire vendue dans le Sud. Si je garde cette plaque, c’est pour ne jamais oublier que je ne serais pas où je suis aujourd’hui sans ces personnes qui ont tant fait de sacrifices. Alors je veux que ces merveilleuses femmes avec qui vous travaillez sachent combien d’autres femmes comme elles comprennent ce qu’elles vivent et les soutiennent. 

Il ne faut pas avoir peur de se mettre en action. Au contraire, ne laissez pas la peur et la douleur vous immobiliser. Il faut essayer de voir les choses différemment : si vous trouvez que vous êtes dans une situation désavantageuse à cause de cette souffrance, essayez de changer d’angle pour percevoir les chances qui vous sont offertes. Engagez-vous ensuite à travailler fort, établissez un plan et atteignez votre objectif. Ça peut sembler simpliste – faire un plan, se retrousser les manches et puis bingo! Mais je suis la preuve vivante que ça fonctionne : j’ai travaillé fort et j’ai atteint mes objectifs. Bien sûr, j’ai connu des échecs et je vous mentirais si je prétendais que ce sera facile. Mais si chaque jour vous faites un pas de plus dans la bonne direction, vous finirez certainement par réussir.

 Prenez moi, par exemple. Ayant grandi dans un logement social au Canada, j’ai toujours aspiré à devenir propriétaire. Alors, quand j’ai fini mes études, je me suis mise à réfléchir à mon objectif premier, l’indépendance financière, et à la façon de l’atteindre. J’ai lu des livres comme Père riche, Père pauvre et Un barbier riche. Le deuxième m’a vraiment aidée parce que l’auteur explique comment un simple barbier a amassé son premier million de dollars. C’est vraiment ça, un barbier canadien qui explique comment il a gagné son premier million, simplement en coupant des cheveux. Sa recette n’a rien de magique : ça se résume à économiser et investir. Je m’identifiais à sa situation parce que je ne roulais pas sur l’or avec mes cours de conditionnement physique. 

Il me restait quand même à trouver comment investir mon argent pour atteindre mon objectif. J’ai ajouté un autre livre à ma bibliothèque, L’immobilier pour les nuls, et j’ai fait de mon mieux pour le comprendre. Quand j’ai eu 25 ans, j’ai acheté une première propriété. Puis, l’année suivante, à 26 ans, j’ai réinvesti dans une deuxième propriété. Donc, vous voyez : dès 25 ans, j’ai pris des mesures concrètes vers la liberté financière. Ensuite, j’ai poussé ma formation plus loin en m’inscrivant à des cours en planification financière à l’Université de la Californie. Ce n’était pas pour en faire un métier : je voulais simplement mieux maîtriser le domaine, parce que ce n’est pas quelque chose qu’on apprend à l’école. Et sans ces connaissances, on doit s’en remettre aux spécialistes. Bref, je me suis formée, j’ai travaillé… et ça a fonctionné!

Gwen Madiba :

Merci beaucoup, Jeanette. C’est très inspirant. Et merci d’avoir répondu à la question de Trevor Monaghan.

J’aimerais, en terminant, que vous nous parliez un peu des nouveautés qui sont, selon vous, prometteuses dans l’univers de la santé et du conditionnement physique.

Jeanette Jenkins :

Eh bien, d’entrée de jeu, le phénomène qui m’emballe le plus, c’est celui de la communauté. J’ai fondé l’Hollywood Trainer Club il y a environ quatre ans. Quand la pandémie a frappé, j’étais prête : mes vidéos d’entraînement en ligne étaient déjà là, ma plateforme était prête, tout était prêt. En gros, ce qui a changé, c’est la diffusion en direct des séances d’entraînement. Avant, je les préenregistrais. Maintenant, je diffuse aussi des séances en direct chaque semaine, et des gens de partout dans le monde sont au rendez-vous.

 Pas plus tard que ce matin, je lisais dans un média qu’on s’attend à ce que la demande pour le conditionnement physique en ligne augmente de 30 % d’ici les quatre à cinq prochaines années. Je ne suis pas trop étonnée; il y a eu une véritable explosion de l’offre depuis le début de la pandémie. Les gens se rendent compte que même avec l’entraînement à domicile, ils peuvent se sentir connectés à une communauté. 

Et il y a des avantages : on ne court pas le risque d’attraper le virus, et on gagne du temps puisqu’on n’a plus besoin de se déplacer. C’est une option de plus pour les gens. On s’entend, l’entraînement en ligne ne remplacera pas les cours en classe ni les séances personnalisées. Le vivre en vrai, c’est hors du commun et incomparable. Mais c’est clair qu’en ce moment, toutes les grandes salles de sport qui avaient seulement un lieu physique ont maintenant aussi une plateforme de diffusion en continu. C’est le gros changement de l’heure, et c’est vers là que l’industrie se dirige. Pour continuer de grandir, une entreprise de conditionnement physique n’a pas le choix de rejoindre son public. 

Gwen Madiba :

Eh bien, merci pour ces observations! Jeanette, pourriez-vous dire à notre public où ils peuvent vous trouver en ligne?

Jeanette Jenkins :

Vous pouvez me trouver à mon club, Thehollywoodtrainerclub.com. Il y a sur le site une plateforme de diffusion en continu où vous pouvez vous entraîner avec moi. Je suis aussi sur Instagram et Facebook. Mon pseudonyme, c’est mon nom : @MsJeanetteJenkins. Venez me dire bonjour. J’adore parler aux gens!

Gwen Madiba :

Merci infiniment, Jeanette, d’avoir pris le temps de parler de santé et de bien-être avec nous aujourd’hui!

Jeanette Jenkins :

Ça m’a fait plaisir! Le temps passe vite. Ma première année à l’Université d’Ottawa, c’était il y a 24 ans. Je n’arrive pas à y croire.

Gwen Madiba :

Merci beaucoup, Jeanette. C’était super!

Jeanette Jenkins :

Pareillement! Bye, tout le monde!

Gwen Madiba :

uOCourant est produit par l’équipe des Relations avec les diplômés de l’Université d’Ottawa. Cet épisode a été enregistré à distance avec le soutien de Pop Up Podcasting à Ottawa, en Ontario. Nous rendons hommage au peuple algonquin, gardien traditionnel de cette terre. Nous reconnaissons le lien sacré de longue date l’unissant à ce territoire, qui demeure non cédé. Pour obtenir la transcription de cet épisode en anglais et en français, ou pour en savoir plus sur uOCourant, consultez la description du présent épisode.