Une chance de donner au suivant

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Craig Haynes donne à la fois son temps et son argent à l’Université d’Ottawa, où il dit avoir été encouragé à viser haut. La bourse d’études qu’il a créée et son don testamentaire à l’Université ont tous deux le même but : payer de retour et donner au suivant.

Pour Craig Haynes (LL.B. 1999), donner son temps et son argent n’a rien d’une obligation. C’est une chance. Une chance de payer de retour, de donner au suivant, de prêter main-forte et, en définitive, de permettre à des personnes — et à des organisations comme l’Université d’Ottawa — de se réaliser.

M. Haynes est avocat spécialisé en droit de l’environnement et de la protection du consommateur à Justice Canada depuis 13 ans, mais a aussi travaillé en cabinet privé. Inspiré par ses parents, tous deux dans la fonction publique (sa mère en soins infirmiers, son père en éducation), il a appris très tôt l’importance de « contribuer au développement des institutions qui contribuent au nôtre. »

En 2015, il a créé une bourse d’études pour récompenser des étudiants en common law qui se démarquent par leur engagement social. « Ayant moi-même reçu des bourses durant mes études, il me semblait normal d’aider d’autres étudiants à mon tour », raconte-t-il. À cette généreuse contribution, il a également ajouté un don testamentaire.

« La bourse vise à donner aux étudiants la liberté d’être eux-mêmes, explique-t-il. Le don testamentaire, lui, est une contribution plus large, une façon de donner au suivant sans connaître les résultats d’avance. »

« Si vous songez à faire un don ou à intégrer l’Université d’Ottawa à votre testament, faites-le maintenant. C’est le moment ou jamais de concrétiser votre désir de partager vos ressources. »

En effet, il est heureux de laisser carte blanche à l’Université, qui pourra décider elle-même comment affecter son don testamentaire. « De cette façon, l’Université aura la liberté de choisir où investir l’argent pour qu’il soit le plus utile possible », explique-t-il en évoquant le rôle vital que jouent les universités dans l’éducation des générations futures.

M. Haynes s’est fait beaucoup de bons amis à l’Université d’Ottawa. Lui et sa femme, Jeannine Ritchot (B.A. 1999), sont de fervents partisans des Gee-Gees — tout comme leur chien, Fergus! M. Haynes a aussi été président de l’Association des diplômés de 2011 à 2014. « L’Université d’Ottawa m’a encouragé à viser haut », dit-il, reconnaissant de l’éducation qui l’a mené là où il est aujourd’hui, en position d’aider les autres à son tour.

Son conseil pour les personnes tentées de suivre son exemple? « Si vous songez à faire un don ou à intégrer l’Université d’Ottawa à votre testament, faites-le maintenant. C’est le moment ou jamais de concrétiser votre désir de partager vos ressources. »