Stacey Wharton

Stacey Wharton

J’ai commencé mes études en service social à l’âge de 17 ans. Lors de ma première année, j’ai suivi une variété de cours (psychologie, criminologie, philosophie, sociologie, études des femmes), mais c’est le cours d’introduction au service social qui a été mon coup de cœur. J’adorais non seulement le contenu du cours, mais aussi le fait que l’on encourageait tous les étudiants à s’engager dans la communauté. En deuxième année, j’ai effectué un autre projet communautaire (dans un centre d’accueil pour femmes), puis, en troisième et quatrième années, j’ai fait deux différents stages dans la communauté. D’emblée, le programme m’a permis de tisser des liens dans diverses communautés. J’ai acquis de précieuses expériences de travail et j’ai pu trouver un juste milieu entre la pratique et l’acquisition de théories en salle de classe.

Rocheny Alexandre

Rocheny Alexandre

La société est en changement continuel. Les différentes mutations sociales projettent constamment de nouvelles réalités de vie. En travail social, nous nous intéressons à ces réalités pour voir leurs impacts sur les individus, les communautés, ainsi que la société en général.

Katharine Larose-Hébert

Katharine Larose-Hébert

Je veux donner la parole, par l’entremise de mes recherches, aux personnes vivant en situation de marginalité, dont la voix est trop souvent oubliée ou ignorée, afin qu’ils participent au développement des connaissances qui les concernent et puissent se réapproprier leur pouvoir d’agir. Mais certes, avant d’être une chercheuse, je suis d’abord et avant tout, une intervenante. Je ne perdrai pas de vue cette première fonction.